• le spleen de la métamorphose

    Revêtis de linges noirs

    Le ciel ne brille plus

    A ceux qui peuvent voir

    La lumière des rues

     

    A ceux qui, grand cortège

    Affamé, désespèrent

    Sous le lac de pierres

    Recouvert de neige

     

    Dans les rues endormies

    On se souvient le mieux

    De ces vastes prairies

    Ou y brillaient les cieux

     

    Je ne m'y ennuis plus

    Et que sombre mes songes

    Mon spleen à disparu

    Sous l'averse des bombes

     

    Revêtis de linge noirs

    Le ciel ne brille plus

    A ceux qui peuvent voir

    La splendeur des rues

     

    A ceux qui grands hommes aigres

    Vous déplaise messieurs

    Mon spleen s'en est allé

    A tout jamais reput


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  • Commentaires

    1
    Samedi 26 Janvier 2008 à 14:48
    ah ! le spleen
    Il faut laisser le temps au temps pour panser ses blessures, pour apercevoir cette petite lueur d'espoir que les larmes noyer ! J'ai apprécié ma lecture et, en espérant ne pas vous vexer, je pense que votre poésie y gagnerait si vous apportiez du soin à l'orthographe ! Poétiquement
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